Elise Perrin, vies alternatives
L’artiste chaux-de-fonnière envisage Une Utopie un peu merdique sur le plateau du Théâtre 2.21, à Lausanne, à l’image en quelque sorte de son quotidien en collectif.
L’artiste chaux-de-fonnière envisage Une Utopie un peu merdique sur le plateau du Théâtre 2.21, à Lausanne, à l’image en quelque sorte de son quotidien en collectif.
L’artisan du vers, éditeur et fondateur de la chaîne littéraire Trousp, a entrechoqué les étoiles et l’amour, la science et l’humain dans Les Pédoncules élémentaires. Un recueil électrisant d’images pour défiger la langue.
Associant objets achetés en ligne, concept et simulacre, la plasticienne élabore un art à part, où s’immisce aussi le présent. A découvrir au Palais de l’Athénée, à Genève.
Coordinatrice d’intimité, la Genevoise chorégraphie les scènes délicates et veille à l’intégrité des comédien·nes sur les plateaux de tournage. Une pratique récente, qui peine encore à s’imposer.
Arrivé à Genève il y a dix ans, le jeune Afghan y a découvert céramique et sculpture. A voir au bord du lac, l’une de ses cocréations évoque la vie devenue trop dure.
A l’Arsenic, à Lausanne, la performeuse «relayeuse de pensées» dévoile son nouvel essai parlé, Maledizione, autour du contrôle du corps des femmes, entres autres thèmes.
A la Biennale Son, il va parler du corps pendant six heures. Mais on pourrait écouter bien plus longtemps encore l’historien de la médecine et poète.