Des cours de musique avaient lieu depuis vingt-cinq ans sous la Maison de quartier des Pâquis. Ils font les frais d’une injonction fédérale en raison du contexte international.
En 2010, un documentaire de Nicolas Wadimoff et un projet de rap solidaire avaient conduit le MC gazaoui à Genève. Il s’y est installé, son flow lui permettant de lutter et de ne pas sombrer.
Au Grand Théâtre de Genève, avec la complicité du plasticien Adel Abdessemed, Jonathan Nott et l’OSR livrent une performance majeure pour Saint François d’Assise d’Olivier Messiaen.
Pour sa 2e Nuit de l’électroacoustique, l’Ensemble Contrechamps se frotte à des compositions actuelles venues de l’est et du sud de la Méditerranée. A découvrir.
C’est une de ces vaines polémiques qu’on préférerait ignorer. Les Jeunes UDC genevois instrumentalisent la culture et l’égalité, cadets de leurs soucis – sauf quand il s’agit de fondre sur les...
Le festival des communes genevoises annonce ses 78 événements amoureusement déclinés au creux de l’hiver dans des lieux insolites et dans les salles de spectacle et de concert.
Connu et plusieurs fois condamné pour ses violences envers les femmes, le chanteur congolais Koffi Olomidé se retrouve à l’affiche du festival Couleur Café, à Genève. Malaise.
Karl Tremblay a succombé à un cancer à l’âge de 47 ans. En vingt-cinq ans de carrière, le groupe québécois Les Cowboys Fringants étaient devenus un véritable phénomène de société.
L’Anglaise donnait le premier de deux concerts à guichet fermé, dimanche à Zurich. Une première partie sobre et maîtrisée, suivie de quelques classiques plus ardents.
Bastien Bron, alias My Name is Fuzzy, explore les applications de l’intelligence artificielle dans une installation rétrofuturiste au Théâtre du Pommier.
L’organiste et compositrice étasunienne au style minimaliste se voit confier l’orgue de la cathédrale Saint-Pierre à Genève, ce dimanche, par le Festival de la Bâtie.
Yemi Alade a enflammé la scène Ella Fitzgerald lundi soir à Genève, à coups de chorégraphies, percussions et mélodies qui ont tendu des passerelles entre les styles et les époques. Récit.
Leur jeu de scène n’a rien à envier aux groupes de rock les plus déjantés. Stanislas, Yohann, Aurélien et Claire dézinguent le politiquement correct avec jubilation.