Hiroshima, bien plus qu’un souvenir
Une centaine de militant·es se sont rassemblé·es mercredi soir à Genève pour commémorer les 80 ans d’Hiroshima. Sur fond de menace internationale préoccupante.
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Une centaine de militant·es se sont rassemblé·es mercredi soir à Genève pour commémorer les 80 ans d’Hiroshima. Sur fond de menace internationale préoccupante.
A l’instar des partis de gauche, le Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA) dénonce une commission alibi, qui sert les «désirs de réarmement de l’armée et les intérêts du lobby de l’armement».
Faut-il livrer des armes à un peuple attaqué? La question pousse le GSsA dans un dilemme éthique.
Le Groupe pour une Suisse sans armée dénonce le fait que l’entreprise pétrolière azérie finance l’achat d’armement pour l’Azerbaïdjan, récemment opposé à l’Arménie dans la région du Haut-Karabagh.
Le 26 novembre 1989, un tiers des Suisses votaient en faveur de l’abolition de l’armée. Trente ans après, que reste-t-il de ce mouvement qui a marqué la fin d’une certaine suissitude?
Il y un quart de siècle, le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) provoquait un séisme politique avec son initiative abolitionniste. Quelles priorités le mouvement se fixe-t-il aujourd’hui?