La baisse de la fiscalité soumise à votation en novembre échauffe les esprits de par son ampleur et des conséquences craintes ou espérées. Tour d’horizon.
Largement défendu par la droite genevoise, le projet de modification de la loi sur l’imposition des personnes physiques sera voté le 24 novembre prochain.
Le contre-projet à l’initiative «J’y vis, j’y paie», déposé par le PLR et l’UDC, a été accepté par une très courte majorité du Grand Conseil. Le peuple devra se prononcer.
Quand bien même le peuple suisse n’a jamais voté et ne votera peut-être jamais sur la taxe au tonnage, le poids des précédents scrutins populaires sur la fiscalité a été déterminant dans...
Les communes les plus peuplées du canton, et majoritairement à gauche, expriment leurs craintes quant à la perte d’une partie de leurs revenus fiscaux.
Clément Dubois est surpris par la publication dans nos colonnes d’un article qui défendrait «l’héritier d’une millionnaire, cherchant à frauder le fisc espagnol».
Le Grand Conseil a accepté à l’unanimité une fiscalité plus équitable vis-à-vis des couples divorcés ou séparés qui se partagent la garde des enfants et les frais inhérents.
Pour renforcer leur place économique, des cantons réfléchissent à des mesures d’encouragement non fiscales, à travers l’octroi de subventions par exemple.
Portée par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) et les pays du G20, la réforme veut garantir une répartition plus juste.