Dans Le Carton de mon père, le Zurichois Lukas Bärfuss examine les enjeux sociopolitiques et intimes liés à l’héritage à la lumière de sa propre histoire.
Philosophe, essayiste et romancière, Hélène Frappat consacre un ouvrage à cette notion fascinante décrivant l’emprise psychologique, et dont le nom est tiré d’un film.
Curieux réquisitoire contre l’intolérance et l’entre soi, Il n’y pas de Ajar de Delphine Horvilleur est aussi une déclaration d’amour à Romain Gary / Emile Ajar.
Dans Traduire Hitler, le traducteur français Olivier Mannoni fait le récit de dix années de questionnements et de face-à-face avec Mein Kampf. Une aventure passionnante et éprouvante.
Jérôme Meizoz inaugure la nouvelle collection d’essai BSN Press avec Coulisses du nom propre, livre dense et précis visant à démasquer les stratégies auctoriales de l’écrivain Céline.
Entre émerveillement et dénonciation de sa marchandisation, le foot devient une matière à rêver et un filtre pour penser les dérives de notre société sous la plume d’Olivier Guez.
D’un continent à l’autre, le journaliste français Antoine Pecqueur révèle la culture en outil de domination géopolitique. Une arme à double tranchant.
Comment la littérature s’empare-t-elle des questions environnementales, pour penser le présent et le futur? Pierre Schoentjes tente une approche contemporaine dans Littérature et écologie....
L’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares se remémore ses séjours dans la propriété familiale, dans la province de Buenos Aires, et développe une réflexion sur la figure du gaucho.