La protection de l’enfance manque de ressources dans plusieurs cantons, mettant en péril le suivi des familles selon le SSP. En ultime recours, des enfants sont hospitalisés. Le point dans le canton de Vaud.
80 millions de francs sont débloqués pour engager davantage de personnel éducatif et créer de nouvelles places en accueil de jour.
Malgré des campagnes de promotion, les places en famille d’accueil continuent à manquer dans le canton. La moitié des enfants en attente sont des mineurs non accompagnés.
Une réforme est en cours pour améliorer le fonctionnement du Service de la protection des mineurs (SPMI). La question des expertises n’est pas réglée.
L’approche de l’accueil scolaire des réfugiés ukrainiens n’est toujours pas la même selon les cantons.
Quatre cantons romands lancent une campagne pour recruter des volontaires pour héberger des enfants dont les parents ne peuvent s’occuper.
En raison de la pandémie, le nombre d’enfants nécessitant une assistance a fortement augmenté. La Direction générale de l’enfance et de la jeunesse du canton de Vaud s’avoue débordée. Une préoccupation qui touche aussi le Valais et Neuchâtel.