La deuxième vague frappe durement les EMS. Partout en Romandie les chiffres d’infections et de décès sont alarmants. Les autorités et les soignants naviguent à vue.
Aucun hôpital n’aime reporter des opérations. Les raisons sont financières et sanitaires: les traitements dits «électifs» s’avèrent lucratifs, mais aussi appréciés sur le plan médical.
Les petits commerçants pourront voir leur loyer pris en charge et seront soulagés des charges sociales. Le secteur aéroportuaire est également soutenu.
Les services de soins intensifs tournent à plein régime. Aux HUG comme ailleurs, le tri des patients pourrait devenir réalité. Entretien avec le médecin-chef Jérôme Pugin.
Les autorités ont laissé cet été l’Europe s’ensemencer de nouveaux cas de coronavirus, selon le professeur Antoine Flahault, qui invite à regarder ce qui marche ailleurs.
Le port du masque sera obligatoire du lundi au samedi, entre 7h et 20h, au centre-ville, dans le quartier de la gare ainsi que dans certains lieux excentrés.
Une directive mise à jour définit les critères d’admission aux soins intensifs si les places venaient à manquer. L’âge ne sera plus en soi déterminant.
La mise à disposition de nombreux lits supplémentaires ne suffit pas pour absorber l’afflux massif de nouveaux patients. Le taux d’absentéisme du personnel soignant, touché par la pandémie,...
«Pourquoi soigner les gens? Nous n’en avons tout simplement pas les moyens.» Poussant l’ironie jusqu’à l’absurde, Nino Fournier revisite le concept de «dictature sanitaire» cher aux mouvements...
Désormais incapable de retracer les chaînes de contamination, la cellule de traçage s’emploie à suivre les nouveaux foyers infectieux touchant des domaines sensibles et des personnes vulnérables....
Les pays européens sont redevenus l’épicentre de la pandémie. Face aux restrictions instaurées, les manifestations se multiplient, comme en Espagne et en Italie.