Cet été, le Mag s’intéresse à des pans de la culture souvent populaires mais rarement inscrits dans le Panthéon des incontournables, méprisés par les élites et les médias.
Série d’été – Arts snobés
Dans les abîmes du crime
L’intérêt populaire pour les affaires criminelles ne se réduit pas à une fascination morbide exploitée par le petit écran. Décryptage avec Mathias Roux, coauteur d’un essai sur le sujet.
Le goût nomade
De nos jours, tous les sons (ou presque) ont droit de cité sur les platines, dans les salles ou à la radio. A l’hybridation débridée répond le passéisme des groupes hommage, autre plaisir coupable.
L’impro, autant de facettes qu’une boule disco
Certes, elle n’a pas la noblesse du Théâtre, avec sa majuscule, d’ailleurs ce ne sont pas les mêmes lieux qui l’accueillent. Mais l’improvisation théâtrale se porte bien, elle est même florissante.
L’art de la route
Les œuvres d’art sont omniprésentes sur les ronds-points et les aires d’autoroutes des grandes vacances. Que peut-on dire de ces installations qu’on ne regarde ni ne questionne très souvent?
Amour et préjugés
Gnangnan et stéréotypée, la romance? Ce genre ultra populaire se vend pourtant à des millions d’exemplaires dans le monde entier. Pourquoi ce mépris tenace?
Le rire, sacrée science
Le vaudeville a eu son heure de gloire. Quels sont ses ressorts comiques aujourd’hui? Faut-il le détourner pour faire rire? Décryptage avec le second volet de notre série d’été «Arts snobés».
Mortel ennui
L’art funéraire assume volontiers sa monotonie. Parce qu’on ne veut pas être original dans la mort, dépareiller avec la tombe voisine. Et si l’art contemporain s’en mêlait? Premier volet de notre série d’été sur les «arts snobés».