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Bassorah, entre soif et colère

La deuxième ville d’Irak fait face à une crise de l’eau majeure. En cause: la mauvaise gouvernance, le réchauffement climatique et les barrages du voisin turc.
Bassorah
A Bassorah, les rejets d’eaux usées se font directement dans les canaux du Chatt-el-Arab. Le fleuve s’est transformé en déchetterie à ciel ouvert, mettant en péril la santé des habitant·es. LPI
Irak

Les habitant·es de Bassorah le répètent inlassablement: leur ville devrait être un paradis sur terre. A l’extrême sud de l’Irak, la cité de deux millions d’habitant·es a été bâtie sur les rives du Chatt-el-Arab, un fleuve majestueux né quelques dizaines de kilomètres plus au nord de la confluence du Tigre et de l’Euphrate. Le cours […]

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