Ambassade de Suisse à Paris. Ambiance protocolaire et caniculaire, pour l’ouverture d’un colloque sur la poésie romande ce printemps. Les discours se succèdent, les lectures aussi. Puis vient le tour de Vincent Barras. Sans micro, mais avec cette assurance malicieuse des avant-gardistes en contexte bourgeois, il commence, partition tenue devant lui, gad, gad, et ainsi […]
Vincent Barras, le corps du texte
A la Biennale Son, il va parler du corps pendant six heures. Mais on pourrait écouter bien plus longtemps encore l’historien de la médecine et poète.