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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Les traces indélébiles du viol

Stéphanie Bovard-Charbonnet témoigne à l’occasion de la Journée mondiale de la santé mentale.
Stéphanie ­Bovard-Charbonnet, qui s’est reconstruite, est cependant consciente que l’équilibre est fragile. HÉLOïSE MARET
Santé mentale

«Il devait y avoir une puissante envie de vivre tout au fond de moi. Sinon, je ne serais plus là.» En regardant son parcours cabossé, Stéphanie Bovard-Charbonnet, 49 ans, se qualifie de survivante. La Valaisanne a subi des abus sexuels répétés de la part d’un membre de sa famille, de ses 2 ans et demi […]

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