Mardi, sur la place des Nations, 150 personnes se sont rassemblées en marge du sommet sur l’«IA pour le bien commun», une réunion de quatre jours sur l’intelligence artificielle organisée par la Suisse et l’Union internationale des télécommunications.
Les manifestant·es, qui ont répondu à l’appel de BDS et de No Tech for Apartheid, ont dénoncé la permissivité de l’ONU face aux géants de la tech, accusés de fournir des technologies d’IA et de cloud utilisées par Israël pour commettre des crimes de guerre à Gaza, et ont appelé à rompre tous partenariats avec ces entreprises.
Plus tôt dans la journée, un discours inaugural du secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires étrangères, Thomas Gürber, a également été perturbé par des activistes.