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Antonio Hodgers: «J’ai dû me taire, et pas qu’une fois»

Le conseiller d’Etat vert revient sur sa démission, ses trente ans de vie politique, ses combats et ses désillusions. Bilan d’un élu qui assume des choix parfois contestés.
Concernant l’aménagement, Antonio Hodgers rejette les critiques d’un urbanisme «trop dense» ou «pas assez vert». J.-P. Di Silvestro
Politique

Deux semaines après la démission du conseiller d’Etat vert Antonio Hodgers à mi-mandat, le soufflé est presque retombé. Alors que politiques et médias ont déjà les yeux rivés vers l’élection complémentaire de l’automne, le magistrat assure avoir reçu des centaines de messages de soutien. Il réaffirme ne pas avoir le sentiment d’avoir trahi ses électeur·rices. […]

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