A la parution en 1953 de la traduction française d’Absalon, Absalon!, roman exigeant de William Faulkner, le critique du Monde soulignait la «violence qui s’empare du lecteur» et le contraste «entre l’extrême brutalité du récit lui-même et l’extrême raffinement des moyens d’expression» employés par l’auteur, Prix Nobel de littérature en 1949. Avec son adaptation scénique, […]
Faire briller les corps noirs
A la Comédie de Genève, Séverine Chavrier transcende l’horreur esclavagiste décrite par Faulkner dans Absalon, Absalon!, magistrale fresque scénique et visuelle.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-