«Jazz History», séances d’écoute illustrées autour de l’histoire du jazz, mettent le cap sur l’Afrique. Pour étudier les relations entretenues par le jazz et le continent, quoi de mieux qu’une immersion dans les musiques ghanéennes et nigérianes, «là où le jazz fut l’une des composantes du highlife et de l’afrobeat»? Sans oublier l’Afrique du Sud et l’Ethiopie, des terres de jazz, incontestablement (on ne citera que Mulatu Astatke, Miriam Makeba ou Bheki Mseleku pour s’en convaincre)

Elisabeth Stoudmann, journaliste et cofondatrice de magazine Vibrations, et le musicien ghanéen Kyekyeku (photo), leader du groupe Super Opong All Stars, nous emmènent en virée agrémentée d’extraits musicaux.

Première étape ce soir à Genève (19h, Bongo Joe) et rebelote samedi à Lausanne dans le cadre du Festival Jazz Onze Plus (16h, Auditorium de l’EJMA) Entrée libre.