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La durée d’un viol ne peut pas être une circonstance atténuante

Suite à un recours s’appuyant sur la courte durée du viol, le Tribunal fédéral précise que la durée de l’acte ne peut pas être considérée comme une facteur favorable à la peine. Au contraire, elle peut constituer un facteur aggravant.
La durée d’un viol ne peut pas être une circonstance atténuante
La notion de «viol de courte durée» est en soi un non-sens car l’atteinte est réalisée dès les premiers instants de l’acte sexuel. Photo prétexte KEYSTONE
Justice 

Le Tribunal fédéral profite du recours d’un homme condamné après un viol pour préciser que la durée de l’acte ne peut pas être considérée comme un facteur favorable au moment de fixer la peine. En revanche, cette durée peut être prise en compte dans un sens aggravant si elle témoigne d’une énergie criminelle particulièrement importante. En […]

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