«Demeurer dans la beauté des choses», chantait Aragon. «Faut pas non plus nous prendre pour des cons», répond Jérôme Meizoz. Foin de lyrisme donc, car le «citron pressé» du Soleil brille «sur fond de poubelle grise» et le capitalisme n’en finit plus d’affirmer que «tout doit disparaître». Ce qui reste, entre les actions Denner et […]
Le temps qui court
Jérôme Meizoz affirme son art de l’épure avec Commerce de bouches.
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