Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Regards croisés sur la «Dolce»

Entre 1988 et 1992, Edgar Cabrita a photographié les concerts de la Dolce Vita, cœur palpitant de l’alternative lausannoise. Il en a fait un livre avec sa fille graphiste, Celeste.
Regards croisés sur la «Dolce»
La Dolce Vita s'est ouverte à l'acid-jazz, au reggae, au rap comme ici avec Gang Starr. EDGAR CABRITA
Parution

Il était une fois… la Dolce Vita. Pas celle de Fellini et Nino Rota. Celle de Bérurier Noir, des Garçons Bouchers, des Red Hot Chili Peppers, de Maceo Parker et Keziah Jones. Des concerts parmi les centaines qui ont fait du club lausannois de 250 places, ouvert en 1985 rue César-Roux, un bastion de la culture […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné? Connexion

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-