La Cour d’appel juge que l’ex-responsable de la sécurité incendie du site est coupable d’homicide et lésions corporelles par négligence. Un revirement dans ce procès qui dure depuis dix ans.
Pour l'avocate Laïla Batou, l’avocate de plusieurs des victimes, ici aux côté de sa consœur Sophie Bobillier, il s’agit là d’un «bon verdict, dans la mesure où il prend au sérieux la responsabilité du coordinateur de la sécurité du site». JPDS