Plusieurs pavillons nationaux de cette 60e Biennale de Venise méritent une visite attentive, qu’on approuve ou non cette manière de célébrer les Etats par leur art. Une glorification parfois relative, ceci dit, par exemple au pavillon suisse: par une grandiloquence toute en ironie et détournements, l’artiste Guerreiro do Divino Amor pointe surtout les côtés sombres […]