Des écrivain·es claquemuré·es dans leur tour d’ivoire? L’autrice neuchâteloise, qui pratique toutes sortes de dispositifs pour faire vivre les textes, incarne l’opposé de cette image d’Epinal.
Dans son deuxième roman, Qui n’est plus, la confession d’un fils à son père décédé est l’occasion d’une mise à nu existentielle. JEAN-PATRICK DI SILVESTRO