Les CFF ont annoncé un bénéfice de 267 millions de francs. Loin des réjouissances, des travailleur·euses témoignent des conséquences de la pénurie du personnel et de la pénibilité au quotidien.
Le travail sur appel, en urgence, est de plus en plus fréquent. Lorsqu’un rail se casse, la réparation doit être immédiate pour que le trafic ferroviaire reprenne au plus vite. KEYSTONE