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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Un pied de nez à la mort

Catherine Lovey signe une belle variation sur le déni de la mort, nos forces et nos fragilités, et ce qui demeure à la fin.
Un pied de nez à la mort
Le roman réaffirme la beauté consolatrice de la nature et la puissance des liens. JEAN-LUC PLANTÉ
Roman

«L’homme qui ne voulait pas mourir parlait volontiers. Cependant, il parlait très peu de sa vie. De la partie qui constituait son existence propre. Elle avait l’air de ne pas l’intéresser. C’est ce qu’on aurait pu dire. Et aussi qu’elle m’intéressait, moi, davantage que lui.» Celle qui parle est la voisine de cet efficace businessman […]

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