Genève Un enfer bancaire avant d’hériter Après le décès de sa mère en Espagne, un Genevois a toutes les peines du monde à toucher son dû déposé dans une banque suisse qui semble faire preuve d’un «formalisme excessif». dimanche 18 février 2024 Maria Pineiro Pour Me Karin Etter, avocate de Patrick, «la banque s’est substituée à l’Etat en exigeant que le bien soit inscrit sur la déclaration d’héritiers espagnole. Ce n’est pas son rôle». KEYSTONE Témoignage Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste