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L’espion «Lucie», au-delà du mythe

Le réseau antinazi de Rudolf Roessler, à Lucerne, a suscité bien des fantasmes. Un historien fait le point.
L’espion «Lucie», au-delà du mythe
De la fin 1939 à avril 1944, Rudolf Roessler, alias «Lucie», a produit une masse impressionnante de quatre à cinq rapports par jour, soit un bon millier de pages par an. RTS
Deuxième guerre mondiale

Dans le foisonnant «nid d’espions» suisse, le réseau de renseignement antinazi de Rudolf Roessler, largement oublié aujourd’hui, fut d’une grande efficacité. Entre 1939 et 1944, l’Allemand exilé à Lucerne – d’où son nom de code «Lucie» – a livré chaque année, directement ou par le truchement d’autres réseaux secrets, des milliers de pages de rapports […]

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