Dans le foisonnant «nid d’espions» suisse, le réseau de renseignement antinazi de Rudolf Roessler, largement oublié aujourd’hui, fut d’une grande efficacité. Entre 1939 et 1944, l’Allemand exilé à Lucerne – d’où son nom de code «Lucie» – a livré chaque année, directement ou par le truchement d’autres réseaux secrets, des milliers de pages de rapports […]
L’espion «Lucie», au-delà du mythe
Le réseau antinazi de Rudolf Roessler, à Lucerne, a suscité bien des fantasmes. Un historien fait le point.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-