Depuis les fenêtres de son bureau, le maire d’Obiliq voit tous les jours les panaches de fumée qui s’échappent des immenses cheminées de la centrale thermoélectrique «Kosovo B». Xhafer Gashi, la cinquantaine, a toujours vécu là, dans cette petite commune, en périphérie de la capitale Pristina. «Mon plus beau rêve, ce serait que le charbon […]
Le Kosovo suffoque
Le Kosovo reste très dépendant du lignite pour son électricité, malgré ses promesses de changements. Ses immenses réserves de ce charbon sont-elles un boulet l’empêchant d’entamer sa transition verte?
, Pristina

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-