Nan Goldin a frappé là où ça fait mal: l’ego. Celui d’une riche famille étasunienne amie des arts, les Sackler, qui a baptisé de son nom des salles du MET new-yorkais ou du Louvre grâce à un mécénat multimillionnaire. Par des actions coup de poing, la grande photographe a réussi l’impossible: pousser les institutions culturelles […]
Nan Goldin, jusqu’au bout
Documentaire virtuose de Laura Poitras, Toute la beauté et le sang versé raconte la photographe étasunienne et son combat contre les opioïdes.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-
Autour de l'article
Arts plastiques
L’éthique, c’est chic
Elle restera dans les annales comme la «Tear Gas Biennale», la «Biennale gaz lacrymogène»: pour sa 23e édition, la manifestation bisannuelle organisée par le Whitney Museum of American Art,...