Dans Portraits clandestins, Daniel de Roulet rend une copie intéressante de ce que peut être cet art littéraire souvent confondu avec l’exercice d’admiration. Lui préfère la critique à l’éloge, la révélation à l’illusion, l’ironie au discours amoureux. La littérature est chose trop sérieuse pour que l’on s’adonne impunément au vice d’une lecture d’adoration. C’est pourquoi […]
Portraits sans complaisance
Daniel de Roulet propose vingt-trois éclairages sur un aspect de l’œuvre et de la vie d’écrivain·es, sans jamais verser dans l’exercice d’admiration.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-