Cinéma Catharsis balkanique Teona Strugar Mitevska sonde les traumatismes de la guerre dans le huis clos tragi-comique L’Homme le plus heureux du monde. Critique et interview de la réalisatrice. jeudi 30 mars 2023 Mathieu Loewer Pour ausculter les séquelles de la guerre en ex-Yougoslavie, Teona Strugar Mitevska enferme ses personnages dans un bâtiment à l’architecture brutaliste durant une journée, pour un huis clos oppressant. TRIGON-FILM Balkans Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste