Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Valentine, une mort ­croquée

Le Musée Jenisch présente les œuvres que l’artiste Ferdinand Hodler a réalisées de son amante ­Valentine Godé-Darel, de sa pleine vitalité à son décès prématuré.
Valentine, une mort ­croquée
Ferdinand Hodler, Valentine Godé-Darel sur son lit de mort (1915). Kunstmuseum Solothurn
Vevey

Le cycle de Valentine. C’est un corpus célèbre en histoire de l’art, fort de 18 peintures, 120 dessins et d’une centaine de pages de carnets. Ferdinand Hodler (1853-1918) n’a eu de cesse de dessiner et peindre son amante, Valentine Godé-Darel, de vingt ans sa cadette (1873-1915), de leur rencontre dans une salle de spectacle de […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné? Connexion

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-