Accusée de biopiraterie par des ONG, la firme bâloise Syngenta se voit confortée par l’Office européen des brevets, qui confirme ses droits sur le poivron anti-mouches.
Le poivron pour lequel Syngenta a obtenu un brevet a simplement été créé en opérant un croisement entre un poivron jamaïcain sauvage, qui avait la faculté de repousser les mouches, et un poivron commercial. FLICKR/FRÉDÉRIQUE VOISIN-DEMERY/IMAGE D'ILLUSTRATION