Trois anciens employé·es du Bureau de contrôle des chantiers demandent quelque 2 millions et demi de francs au titre d’arriérés de salaire. Des griefs et des sommes contestées.
Licenciés en 2020 pour rupture du lien de confiance, les ex-employés du Bureau de contrôle des chantiers contestent la légalité de leur renvoi. KEYSTONE/IMAGE D'ILLUSTRATION