Ecrire contre l’origine, pour régler ses comptes avec le milieu social: voilà qui relève désormais du topos littéraire. Pensons aux ouvrages d’Edouard Louis ou à l’œuvre d’Annie Ernaux dont le discours de réception du Prix Nobel en décembre découlait d’une phrase de son journal largement débattue depuis: «J’écrirai pour venger ma race.» Loin de Paris […]
Gaston Cherpillod, récit rageur d’un rejeton
Autobiographie incendiaire parue en 1969, Le Chêne brûlé de Gaston Cherpillod reparaît ces jours, faisant écho à la question du transfuge de classe incarnée par Annie Ernaux.

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