Trente ans après le refus de 1992, le mouvement européen suisse s’appuie sur une étude pour promouvoir une «solution globale» avec l’Europe. Les opposant·es répondent en réclamant la «neutralité perpétuelle» du pays.
Eric Nussbaumer, président du Mouvement européen, relève que «des accords pour l'énergie, la sécurité et la formation dépendent d'un règlement institutionnel de notre accès au marché intérieur européen. Ils ne peuvent pas être obtenus individuellement». KEYSTONE/ARCHIVES