Après huit ans de travaux, le Groupe de travail de l’ONU sur les firmes transnationales et les droits humains peine à avancer. Les Etats occidentaux freinent des deux pieds selon la société civile.
Alors que la troisième version d’un texte de traité en négociation devait être examiné, la présidence du groupe, assumée par l’Equateur, a présenté un nouveau document de son cru, remettant en cause les avancées obtenues par nombre d’Etats du Sud depuis huit ans. KEYSTONE