Le Grand Conseil a voté vendredi soir un projet de loi qui pose le principe de l’anonymat des épreuves écrites afin de garantir un traitement équitable des étudiant·es.
Session d'examen à l'Université de Genève. «L’anonymat vise à éviter non seulement les discriminations et mais aussi les traitements de faveur», a relevé la socialiste Amanda Gavilanes. KEYSTONE