Sonia Urrutia, représentante du mouvement social salvadorien, dénonce les atteintes aux droits humains du régime, aggravées par l’état d’urgence mis en place pour lutter contre les gangs.
La répression indiscriminée du gouvernement Bukele aurait causé 70 000 victimes, selon ces manifestant·es présent·es dimanche
devant la cathédrale de San Salvador. KEYSTONE