En 2020, une entrepreneuse avait monté une usine à Genève destinée à la production de masques, en partenariat avec un financier. En désaccord sur la stratégie, elle a finalement démissionné. Elle réclame devant le Tribunal des prud’hommes des arriérés de salaire: près de 160’000 francs. Entre-temps, la société a été rachetée par l’homme d’affaires Abdallah Chatila.

En quatre mois, le discours des autorités au sujet du port du masque a évolué. 
Alors que l’accessoire sera obligatoire dans les transports publics dès lundi, les HUG y renoncent.