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Le silence des déplacé·es

Dans la région d’Ivano-Frankivsk, dans l’ouest de l’Ukraine, l’adaptation des déplacé·es de guerre s’avère compliquée. Ici, tout ce qui rappelle la Russie est honni, à l’instar de la langue de la plupart des exilé·es.
Le silence des déplacé·es
Dans l’auberge Dymca reconvertie en centre d’accueil, bénévoles et réfugiées cousent des vestes militaires. Le lieu est un des rares où l’on entend parfois un mélange de russe et d’ukrainien: ce sont les enfants du Donbass qui s’initient à la seule langue acceptée dans l’oblast d’Ivano-Frankivsk. A. CAMPOS
Ukraine

Valeria ne parle russe plus que dans son cocon de bois, planté au bout d’une piste cahoteuse, en bordure du bourg de Verkhovyna, au sud-est des Carpates ukrainiennes, dans l’ouest du pays. Le gîte en rondins est rustique. Ici, la jeune mère de 29 ans, logée à prix réduit depuis le début de la guerre provoquée […]

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