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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Lettre ouverte

Le premier roman de Polina Panassenko, Tenir sa langue, a un fort accent autobiographique.
Lettre ouverte
Roman

«Pensez-vous que c’est dans votre intérêt d’avoir un prénom russe dans la société française?» En réponse à cette question peu subtile d’une procureure, une jeune femme est sommée de justifier sa demande de vouloir récupérer l’usage de son prénom de naissance, Polina, «francisé» en Pauline à son arrivée de Russie lorsqu’elle était enfant. Sa courte […]

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