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Lettre d’amour à Fassbinder

Avec Peter von Kant, François Ozon revient à Fassbinder et adapte une de ses œuvres majeures, Les Larmes amères de Petra von Kant, en inversant les genres. Interview.
Lettre d’amour à Fassbinder
Denis Ménochet endosse le rôle de cinéaste égotiste avec brio. Ici aux côtés d’Isabelle Adjani. C. BETHUEL-FOZ
Entretien

Pour son 21e film, François Ozon revient à sa veine cinéphile et adapte, après Gouttes d’eau sur pierres brûlantes en 2000, une nouvelle œuvre de Rainer Werner Fassbinder, Les Larmes amères de Petra von Kant (1972). La proposition du cinéaste est d’inverser les genres: chez Fassbinder, Petra von Kant, styliste, maltraitait son assistante Marlene et tombait […]

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