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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Continuer à rêver après l’apocalypse

L’Orangerie ouvre sa saison théâtrale avec la création Fabula rasa qui plonge le public dans les conséquences de sa propre inaction climatique.
Continuer à rêver après l’apocalypse
Mi théâtre, mi-cinéma, Fabula rasa prend une forme scénique hybride. JEANNE QUATTROPANI
Théâtre de l'Orangerie

Dans la pénombre et couvrant des sons d’effondrements avec une voix posée, Léa (Valérie Liengme) raconte ses souvenirs de la fin du monde. La moindre catastrophe était partagée en direct sur les réseaux sociaux et suivie avec encore plus d’assiduité qu’une série Netflix: marrées de plastique sur les océans, tremblements de terre, explosions et même […]

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