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Chili: la gauche a mauvaise mine

Gros producteur de cuivre et de lithium, le Chili hésite à nationaliser ces «biens naturels stratégiques». Majoritaires, les constituant·es progressistes n’ont qu’une dizaine de jours pour réaliser leur promesse.
Santiago
Chili: la gauche a mauvaise mine
Le sous-sol chilien, depuis la dictature néolibérale de Pinochet, profite principalement aux entreprises étrangères (ici Barrick Gold Corp à l'oeuvre à Pascua-Lama, au nord du pays). Les constituant·es chilien·nes ont dix jours pour inventer un nouveau modèle. KEYSTONE/ARCHIVES
Chili

L’élection l’an dernier d’une Constituante dominée par les partis progressistes et les mouvements citoyens avait soulevé de grands espoirs. Mais à quelques mois de la fin de son mandat, l’assemblée achoppe sur la question fondamentale du contrôle des ressources naturelles. Dans le même hémicycle où le cuivre avait été nationalisé, à l’unanimité, en 1971, sous […]

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