Ils se nommaient Va-de-bon-Cœur, Fleur d’Epine, Marche-Marche, Chouan, La Jeunesse, De Grand’Peine ou Sans-Façon. Solitaires ou en petites bandes armées, ils transportaient, au péril de leur vie, le sel de contrebande des marches de Lorraine ou des frontières de Bretagne jusqu’en Ile-de-France et dans les provinces voisines, où le précieux «or blanc» était fortement taxé […]
Les contrebandiers de la gabelle
Durant des siècles, les Français ont tenté d’échapper à une fiscalité sur le sel aussi injuste que détestée.
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