En Algérie, le Ramadan est marqué par les pénuries et la hausse des prix. Les barons de l’économie informelle, qui spéculent sur les biens subventionnés, forcent le pouvoir à revoir le système.
Le souvenir des émeutes de la faim de janvier 2011, ici à Bab el Oued, hante les responsables politiques algériens qui tentent de stopper la spirale inflationniste provoquée par les spéculateurs. KEYSTONE