«La priorité n’est pas de fournir immédiatement un travail ou une activité lucrative aux plus de 600 réfugié·es au bénéfice d’un permis S qui sont hébergé·es actuellement dans le canton de Neuchâtel. Ces personnes doivent d’abord prendre leurs marques dans notre société et apprendre aussi les rudiments du français», résume le responsable du Service cantonal des […]
Pieds à Neuchâtel, regard à Kiev
Travailler dans le canton de Neuchâtel n’entre pas encore dans les plans des réfugié·es d’Ukraine. Les entreprises ignorent également combien de temps leur exil durera.
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