Violences, exécutions, abus sexuels, torture. Selon les investigations de l’ONU et de la Commission éthiopienne des droits de l’homme, au Tigré, toutes les parties sont responsables d’abus.
Les armées éthiopiennes et érythréennes sont responsables «d’un grand nombre» des violations mais les forces tigréennes sont aussi en cause, a dit à la presse la Haute commissaire de l’ONU aux droits de l’homme Michelle Bachelet. KEYSTONE