Près de deux ans après la révolte populaire d’octobre et novembre 2019 au Chili, plus d’un millier de jeunes sont encore en prison préventive ou condamné·es de manière suspecte.
Les arrestations violentes de la police anti-émeute chilienne, lors des manifestations contre le gouvernement en 2019, à Santiago du Chili, ont été dénoncées par de nombreuses ONG comme autant de violations des droits de l'homme. KEYSTONE