La fuite du président dimanche laisse de fait le pouvoir aux talibans, qui peuvent entrer dans les zones de la capitale abandonnées par l’armée afghane.
Dimanche, la panique s'est emparée de la capitale. Les magasins ont fermé, des embouteillages monstres sont apparus, des policiers ont été vus troquant leur uniforme pour des vêtements civils. KEYSTONE