Après cinq jours de grève, les salarié·es d’Europe 1 se sont rassemblé·es mercredi pour dénoncer la prise de contrôle de leur station par Vincent Bolloré, patron d’un empire médiatique des plus réactionnaires.
Parce que faire polémique fonctionne, la chaîne Cnews n’a cessé de
se droitiser. Toute la
fachosphère y est aujourd’hui régulièrement invitée.
CAPTURE D'ECRAN